Critique sur le film: Prison

Ce critique traitera des situations des prisonniers suspects de terrorisme. Ces prisonniers étaient maltraités par les gardes de prison. Les gardes ont non seulement maltraités les prisonniers, mais ils enfreignent  plusieurs lois. À mon avis, même si les prisonniers sont suspectés d’acte terrorisme ou sont des terrorismes, ça ne nous donne pas le droit de maltraiter les prisonniers comme on le souhaite. Ils sont aussi des humains et les gardent doivent comprendre cette logique. À utiliser ses sortes de méthodes ne mènera nulle part et ça n’aiderai par l’armée américaine en Iraq, mais il ridiculiserait l’Amérique.

Quand je regardais le film, les gardes menottaient les prisonniers nus avec une culotte de femme sur leur tête. C’était une façon de détruire leur confiance en soi et les obliger à dire des informations utiles. Une garde de prison trouvait que c’était amusant et a pris des photos des prisonniers. Les prisonniers étaient menottés dans des positions inconfortables. La garde en charge avait pris des photos et elle réalisa que c’était une de molestation. Je voyais sur les photos les prisonniers menottés aux barreaux des cellules, d’autres menottés dans une position que Jésus avait fait quand il était crucifié et d’autres subissaient des douleurs à cause qu’il y avait des épices sur leur corps. Un des gardes surnommé Grener a demandé à une femme de garde, qui l’aimait, de trainer un prisonnier avec une corde attaché leur cou et Grener prenait des photos. Cette femme de garde ne réalisait pas ces actions et disait qu’elle était juste aveuglée par l’amour. Elle n’a jamais démasqué sa vraie personnalité due à sa naïveté. Des gardes ont affirmés que des femmes se sont retrouvées en prison à cause d’un homme. Tous se sont retrouvés avec différents raisons, mais toujours à cause d’un homme. Les gardes n’ont jamais pensé à libérer les prisonniers parce qu’ils étaient des accomplisses des terroristes. Cependant, quelques des prisonniers étaient des chauffeurs de taxi, des boulangers, des personnes ordinaires ou des enfants. Une fois, un garde a vu un garçon de 16 ans qui était attaqué par des fourmis. Les fourmis le mordaient et l’enfant faisait son possible pour les tuer avec le garde qui l’arrose de pesticides. À la fin, l’enfant n’a pas survécu. Lors des interrogations, les femmes utilisaient des méthodes humiliantes sur les prisonniers parce que, dans la culture musulmane, la femme est inférieur à l’homme et on détruit leur fierté en les déshabillant et une culote sur leur tête. Dans la prison, les prises de photo étaient interdites. Quelques gardes sont opposés les ordres du général (qui les imposent à les maltraité d’une façon inhumain), mais la plupart donne comme prétexte que c’était un ordre du général. Après ces évènements, les enquêteurs ont trouvé les photos et l’ont classé selon le temps qu’ils étaient pris, l’écart de temps entre les photos et les dates. Ils ont jugés si les photos étaient un acte criminel ou acceptable. Des gardes se sont retrouvés en prison et ces évènements sont connus au public.

Source: Film

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